lundi 1 juin 2009

N° 5.


Sa destinée romantique s'accordant à celle de sa maîtresse, aurait pu, aurait du, attirer l'oeil des scénaristes des biopics de Gabrielle Channel, mais non.
Nulle place pour le poète, nulle place pour la poésie, vaincue par quelques aristocrates anglais et officier SS.

Dommage.

Des millions de spectateurs auraient pu à cette occasion au moins entendre son nom.
Mais l'édification des masses n'est décidément pas dans l'air du temps.
Alors tant pis, et lisons discrètement Pierre Reverdy. 

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